80% des étudiantes malgaches ont été victimes de corruption sexuelle
A en croire les chiffres publiés par Transparency International, Madagascar est devenu un véritable paradis pour les pervers sexuels. En effet, sur plus de 5000 personnes interrogées par l’organisation dans trois régions, 80% des étudiantes ont été victimes de corruption sexuelle. La pratique est donc devenue une norme totalement acceptée par la société malgache dans les universités, mais aussi dans les écoles. Comment expliquer que de telles pratiques ne soient jamais sanctionnées, ni dénoncées ?
Tout simplement parce que les étudiantes ont honte et ont peur des représailles de la part des professeurs incriminés. D’autant plus que, selon Transparency International, ces derniers sont protégés par tout un réseau au sein même du ministère de l’Enseignement supérieur. Bref, si vous avez l’occasion d’étudier ailleurs, barrez-vous de Madagascar aussi vite que possible car il faudra attendre plusieurs générations avant que les enfants et les femmes y soient réellement protégés.
le pays ou tout le monde vole, sauf les avions
ou n’importe quel titulaire d’un tout petit pouvoir en profite pour réclamer de l’argent, des « faveurs » sexuelles. etc ….
existe t il encore un seul juge, prof, flic , fonctionnaire qui fasse correctement son travail ?
faut il porter le même voile qu’à Kaboul, ? ou se barrer comme le suggere l’auteur de l’article ?
non ! il faut cesser se se voiler la face , dénoncer tous ces pervers, aussi puissants soient ils, et soutenir la campagne de transparency
Puisque on peut dénoncer, je voudrais dénoncer le patriarcat Malagasy et particulièrement son organisation de presse préféré : la Gazette des Gros Q.
Voilà plusieurs semaines, ce journal organisé le lynchage, au vu et su de tout le monde d’une femme sans défense, Madame Lalatiana.
Plus qu’un VIOL collectif, c’est une véritable atteinte à la dignité humaine.
Elle est plus que jamais le SYMBOLE de cette VIOLENCE dont sont victimes les FEMMES MALAGASY !
Bientôt les personnes de bonne volonté pourront se lever pour demander le DÉMANTÈLEMENT de ce soi-disant journal, qui ne fait que supporter ce bon vieux PATRIARCAL Malagasy !
VIVE LES FEMMES LIBRES !
Malheureusement, tant que ce sont des Bac moins 3 et la mafia au pouvoir, on ne pourra pas faire grand chose contre ce genre de fléau, sauf si un jour les malagasy se lèvent et les virent tous en une journée (révolution). Mais les Malagasy sont prêts à tout accepter, ne pas manger, vendre leurs corps, s’entretuer donc oui, il faut se barrer de là si on le peut sinon ben, serrez bien les fesses et supportez ce que les Bac moins 3 ont envie de vous faire subir. Après tout, les Malagasy sont consentants donc ne nous pleignons pas pour eux, si ça leur plaît pas, ils ont qu’à prendre leur destin en main.
Non non non !
L’ennemi n’est pas le gouvernement !
C’est le PATRIARCATS MALAGASY !
Je vous invite à lire les articles complètement démonstratifs de cette mentalité sur le journal La Gazette des Gros Lourds.
Chaque jour c’est le festival des moralités douteuses, des célébrations des vices, de l’éloge du stupre !
Voyez les articles sur Madame Lalatiana ! L’éditorialiste y parle de Silipy midina… !
PIRE : D’après lui la femme doit être discrète et invisible !!!
FEMMES ; LA LUTTE DOIT COMMENCER PAR LA MISE AU PAS de ce journal !!!
Je pense que des EXCUSES pour commencer seront déjà un début de PRISE DE CONSCIENCE !
Bien sûr que le gouvernement est complice, vu qu’ils protègent bien ces pervers. Et je ne parle pas que de Rajoelina, mais ça a commencé depuis bien plus longtemps que ça et rien ne change.
Pour le patriarcat, c’est vrai que les journalistes malagasy sont limites dans leurs écrits mais je ne vais pas pour autant pleurer pour Lalatiana, elle l’a quand même bien cherché depuis le temps qu’elle casse tout le monde avec sa grande gueule. Ce qui lui arrive, c’est juste son karma et on peut rien faire contre le karma.
Malheureusement le problème ne se limite pas aux affaires sexuelles. Les institutions a mada sont pour les promotions canapés, les membres de la famille et les copains des hauts placés. Tenez l’exemple des concours publics, ils font une annonce de concours public mais la réalité est tout autre, ils font du favoritisme au niveau sélection de dossier
http://www.lagazette-dgi.com/?p=63728
la question de Q en échange de faveurs semble être très répandu. Un petit entretien canapé puis tu obtiens de bonnes notes, tu écartes les jambes puis tu obtiens un poste a un ministère ou une grande entreprise. Seul le cas des étudiants sont mis en lumière parce que l’obtention de postes dans les ministères ou les entreprises en échange de sexe c’est gagnant gagnant
comme le disait avec humour une comédienne
« si on peut plus coucher pour avoir un rôle »
la « promotion canapé » ne pose aucun problème si chacun est consentant
si l’on force une élève à des rapports c’est très différent, c’est un viol , punissable comme tel
La promotion canapé ne pose aucun problème ? Vous êtes sérieux là ? Donc ça ne vous gêne pas que quelqu’un d’incompétent occupe un poste stratégique juste parce qu’il ou elle a écarté les jambes ?
mon Dieu, vous pensez que si c’est consentant donc il n’y a aucun problème? la société elle a pris un niveau d’hypocrisie hallucinant. Une promotion canapé qui coute des millions a la société ça c’est pas un problème, par contre, un petit employé père d’enfants qui aurait fait une faute grave par une simple constatation arbitraire ça c’est acceptable. En plus le problème avec les malagasy, on ne connaît ni l’éthique ni les droits des travailleurs. Du coup on peut faire n’importe quoi