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VIDEO. La piste de la dépression privilégiée pour le décès de l’étudiante britannique à Madagascar

Les circonstances du décès d’Alana Catland, cette étudiante britannique qui faisait des recherches scientifiques à Madagascar, ont intrigué l’opinion publique. En effet, selon les témoins, elle aurait sauté de son plein gré juste après le décollage de l’avion qui la transportait d’Anjavavy à Antananarivo.

Mais selon les enquêteurs, l’étudiante aurait souffert de dépression à cause de ses études. Après seulement 8 jours à Madagascar, elle se serait sentie en échec et aurait rencontré des difficultés par rapport à ses recherches. En contact régulier avec ses parents au téléphone, ceux-ci lui ont alors conseillé de rentrer en Grande Bretagne.

D’après les gendarmes, d’autres éléments confirmeraient la thèse de la dépression, à savoir la présence de somnifères dans sa chambre d’hôtel. Cutland prenait également des médicaments antipaludiques. Or, les effets secondaires du Lariam (méfloquine) sont connus, tels que la psychose, les pensées suicidaires, la dépression et les hallucinations.

Enfin, avant de prendre l’avion, Ruth Johnson, sa compatriote qui voyageait avec elle, aurait trouvé la jeune femme dans sa chambre d’hôtel « assise sur une chaise avec le regard perdu dans le vide », signe que quelque chose n’allait pas.

Son autopsie devrait donner plus d’informations sur son tragique décès. Mais pour le moment, aucune donnée n’a été communiquée et il se peut que cela reste confidentiel. En effet, la famille avait demandé au « respect de la vie privée » par le biais d’un communiqué via l’ambassade du Royaume-Uni à Madagascar.

Source : The Sun

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2 Commentaires
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Analyste

Pourquoi continuent-ils encore à commercialiser ces médicaments qui sont apparemment vraiment dangereux ?

Brandon

Pourquoi ? Parce que ces organismes comme l’OMS protègent les industries pharmaceutiques occidentales. C’est une sorte de mafia où l’argent est roi, sous prétexte de démarche scientifique.
N’oublions pas que c’est l’OMS qui a préconisé la prise hebdomadaire de nivaquine dans le temps, avec les conséquences néfastes qu’il y avait par la suite sur les malgaches. Et l’OMS a abandonné cette préconisation.
C’est l’OMS qui a dit que l’on ne doit pas donner aux nouveaux nés malgaches le « ranom-batsy » lors de la 1° tétée. A la place, il fallait donner de l’eau tiède sucrée. Heureusement que les vrais malgaches n’ont pas suivi cette bêtise et l’OMS a annulé sa « décision » après plusieurs années.
C’est encore l’OMS qui dit qu’il faut mettre de l’iode et du fluor dans le sel utilisé à Madagascar, sachant que ces produits provoquent à la longue et à des micro doses l’hypertension artérielle. C’est contre la liberté humaine car l’être humain doit choisir le sel qu’il prendra. Heureusement que l’on peut acheter le sel à la source, avant le mélange iodé.
C’est toujours l’OMS qui préconise la prise de la Méfloquine comme anti-paludéen, alors que rien ne vaut le quinimax.
Et le Gouvernement et les médecins malgaches disent « oui, m’sié » à tout cela.

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