andriana c'est juste un titre ou…
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Pour être juste, comparons les taux de maladies génétiques entre consanguins et entre sang éloigné. Le résultat sera sûrement … surprenant.
mouais!
Disons que, tous, nous jouons à la roulette russe à chaque fois que nous concevons un enfant, consanguins ou pas. Les consanguins y jouent juste avec plus de balles dans le barillet que les non consanguins. En tout cas c’est ce que j’ai appris. Mais évidement cela peut n’être qu’une idée reçue.
mouais!
Disons que, tous, nous jouons à la roulette russe à chaque fois que nous concevons un enfant, consanguins ou pas. Les consanguins y jouent juste avec plus de balles dans le barillet que les non consanguins. En tout cas c’est ce que j’ai appris. Mais évidement cela peut n’être qu’une idée reçue.
Les recherches que la personne citee ci-dessous a mene tendent a dire qu’effectivement cela peut desormais devenir une idee recue. Je n’ai pas trouve l’article sur le web et j’ai la flemme de saisir 5 pages d’un bouquin ici mais en gros ses recherches avancent l’hypothese que les unions consanguines ont moins de risque d’avoir des progenitures avec des problemes genetiques que les unions non-consanguines… comme quoi les theories scientifiques sont faites pour etre bousculees par de nouvelles.
Inceste – Un petit poisson brise le tabou / Coralie Hancok/ article in Science et Vie (N° 1077, Juin 2007)
Type de document : texte imprimé
Auteurs : Coralie Hancok, Auteur
Article en page(s) : p. 72 – 76
Langues : Français (fre)
Mots-clés : recherche, génétique
http://uchaud.bibli.fr/opac/index.php?lvl=bulletin_display&id=154Peut-etre que Mahazaza a lu le meme article ou pris connaissance d’autres recherches recentes faites sur le sujet.
Hamy0402,
D’un côté une équipe de scientifiques a obtenu ce résultat lors de travaux de recherches. Ok. Mais de l’autre des décenies de recherches scientifiques et des siècles voire des millénaires d’observations empiriques ont conclu à la dangerosité de l’inceste sur le plan biologique (Je ne parle même pas de l’aspect moral et ethique de la chose).
ça ne me pose pas de problème d’accépter les conclusions des travaux que tu évoques en ce qui concerne cette espèce de poisson en particulier, mais de là à dire que ça va révolutionner les lois de la génétique et des probabilités, il y a un pas que je ne franchirai certainement pas, désolé.
En réalité, le problème avec la consanguinité ce sont les maladies causées pas les gènes récéssifs. C-à-d les gènes qui ne s’expriment que s’ils sont transmis à la fois par le père et par la mère. Et pas besoin d’être un savant pour admettre que les parents proches génétiquement ont plus de chance de porter, donc de trasmettre, les même gènes récéssifs que les parents éloignés génétiquement. Et malheureusement il y a un gros paquet de tares génétiques récéssifs.
Bien évidement les consanguins et les non consanguins sont sur le même pieds d’égalité vis-à-vis maladies dues à des gènes dominants.
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