BLAGUES : surtout pas salées s'il vous plaît !
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Un prêtre dit à son ami rabbin :
– J’ai un truc pour manger gratuit.
– Super ! Donne-moi ton secret !
– Je vais au restaurant, assez tard, et je commande une entrée, un plat, du fromage, un dessert et puis je prends mon temps en dégustant un café, un cognac et un cigare… Et j’attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser. Alors je lui réponds : » – Mais j’ai déjà payé à votre collègue qui est Parti ! Et le tour est joué… »
Et le rabbin :
– Alors, on essaie demain ?
– OK. »
Le lendemain, les deux compères vont au restaurant et tout se passe comme prévu. Au moment de la fermeture, le garçon demande s’il peut encaisser. Le prêtre lui répond :
– Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti.
Et le rabbin ajoute :
– Et d’ailleurs nous attendons toujours notre monnaie… «LA PIPE MARTINIQUAISE
3 copains sont en virée dans les rues chaudes de Paris. A la devanture d’un établissement « spécialisé », une affichette annonçant
« ICI, ON FAIT DES PIPES MARTINIQUAISES ! »
Les 3 copains sont intrigués, et l’un dit à ses 2 amis :
– J’ai envie d’essayer, je ne connais pas.
– OK, tu y vas, et nous t’attendons au bistrot d’à-côté.
Il entre donc dans l’établissement, où il s’enquiert des tarifs.
On lui propose la pipe à 15, 20 ou 30 euros. Il choisit la pipe à 15 euros. Quelques temps plus tard, il sort de l’établissement, les yeux en roue libre. Il se dirige vers ses 2 copains.
– Alors ? Demande l’un d’eux.
– Extra.– Oui, mais encore ?
– La fille coupe un ananas en rondelle, elle l’évide à la taille du pénis,et elle te fait une pipe d’enfer, en terminant par manger la rondelle d’ananas…GENIAL !
Un des copains :
– J’y vais aussi.
Il entre dans l’établissement, et choisit la pipe à 20 euros. Quelques temps plus tard, il sort de l’établissement, lui aussi avec les yeux en roue libre et se dirige vers ses 2 comparses.
– Alors ?
– Extra, et plus encore.
– Oui, mais ?
– Bien… la fille coupe un ananas en rondelle, elle l’évide à la taille du pénis, et elle t’enduit le pénis de crème chantilly, qu’elle lèche, elle te fait une pipe d’enfer, en terminant par manger la rondelle l’ananas…
HYPER-GENIAL !
Le troisième :
– J’y vais aussi.
Il entre dans l’établissement, et choisit la pipe à 30 euros. Quelques temps plus tard, il sort de l’établissement en courant, en se reboutonnant. Il court vers ses 2 copains.
– Alors ? demandent-ils.
– Comme vous l’avez dit, elle a pris un ananas, l’a évidé, l’a enduit le pénis de crème chantilly. Mais là !?? J’ai eu peur.
– Comment ça ? demandent les 2 copains.
– Elle a sorti la bouteille de rhum et la boîte d’allumettes !!!!ça c’est l’histoire d’un monsieur qui monte les escaliers avec les gens d’un cinéma pour voir un film en mangeant des olives.
presque arrivé à la porte de la salle du cinéma, il fait tomber une olive. il commense à la suivre en decsendant ces escaliers sachant qu’il n’y a pas d’ascenseur et que la salle se trouve au dernier étage.
une fois en bas, il ramasse son olive et la met dans sa poche.
arrivé au milieu des étages, il voit descendre les gens avec qui il est monté et il leur dit: non c’est bon, je l’ai retrouvé mon olive, vous pouvez retourner regarder le film.en fait, le film était terminé avant qu’il ne retrouve son olive!
ah! j’en ai une autre:
il était une fois, dans un hôpital psychiatrique qui accueille un grd nbre de malades mentaux où le psychiatre teste ses patients.
Il leur dessine une porte sur un mur:
il y avait parmi ces malades mentaux qui donnaient des coup de pied, qui criaient, qui sautaient, qui pleuraient, qui rigolaient, qui se battaient, etc. excepté un qui est resté dans son coin en se moquant d’eux…
une fois qu’il l’a remarqué, le psychiatre (en étant content pour sa réaction) lui demande pourquoi il n’agit pas et qu’il reste dans son coin.
le malade lui répond en chuchotant: chuuut! c’est moi qui a la clé!ah! une dernière encore et je m’arrête:
toujours dans cet hôpital psychiatrique, le psychiatre leur distribue chacun un miroir:
il y en avait parmi eux qui cassaient leur miroir, qui le jetaient, qui s’excitaient, qui rigolaient, etc. excepté un qui se regardait dans la glace avec une grde attention et en méditant.
une fois qu’il l’a remarqué, le psychiatre, content pour sa réaction, lui demande pourquoi il se regardait avec une telle attention.
le malade lui répond: il me semble que j’ai déjà vu ce visage quelque part!
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