je me permets de dire que ce n’est pas du racisme dans le sens propre du terme, c’est la peur d’aller vers l’autre et la jalousie surtout, mais on commence quand même à bien se mélanger en ce moement entre nous non? Et puis, la barrière des dialectes, mine de rien c’est beaucoup, j’ai mis au moins 3 ans avant d’apprenre le betsimisaraka par exemple, pour bien m’intégrer à tamatave, c’est intéressant d’apprendre sur nos cultures et ces dialectes, c’est à nous!