mpandalo
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mpandaloMembre
Par contre, toujours concernant Raombana et un éventuel travail de terrain interéssant, seules 4000 des 6000 pages de son recueil ont été retrouvés. Il est maintenant sûr que ce ne sera jamais au complet car des pages ont été vraiment brulées lors des évènements de 1947. La dernière trace des dernières pages est en Angleterre.
Ca, ça pourrait être un travail de terrain, car le contenu est inestimable, et ce n’est pas en allant interviewer à Anosy actuellement qu’on aura le contenu.
mpandaloMembreIl faut se remettre dans le contexte. En 1864, il y avait tellement peu de manuscrit que presque tout restait à faire. Est-ce encore le cas en 2010 ?
Je reprend le recueil de Raombana en 1843. Il a réussi à noircir 6000 pages sans bouger du palais ( et d’Anosy ). Ou est le travail de terrain dans ce cas là ?
mpandaloMembreAtaoko amin’ny teny vahiny kely aloha fa miala tsiny.
Le T.A. ? Loin de moi l’ idée de remettre en cause le travail de terrain effectué par François Callet, mais n’oublions pas le
deuxième titre du T.A. : « Documents historiques, d’après les manuscrits malgaches ». Même Callet ne voulait pas réinventer
l’eau chaude. Le contenu n’a pas forcément était pris sur place, lors des enquêtes. La thèse d’Alain Délivré sur le sujet est trés intéressante. Je ne m’étalerai pas.Callet avait , en 1864, une dizaine de manuscrits à sa disposition, des informateurs parmi les lettrés du palais, des
interlocuteurs privilégiés chez les Antehiroka et les Tsimahafotsy, en plus de ses déplacements de missionnaire.Moi, en 2010, je fait un peu comme lui, sauf que j’ai maintenant des milliers de références, dont quelques unes accessibles d’un clic de souris. Et assez exhaustive, comme des historiens, des ethnologues, des archéologues, des linguistes, des généticiens … et des forumistes ( je ne suis pas ironique ).
A Tana et ses environs en particulier, la connaissance historique est-elle encore vers ceux qui habitent le lieu ? Franchement, pour les lieux qui m’intéressent vraiment ( je ne suis qu’un modeste internaute qui veut juste connaître son histoire et non un historien chevronné ), je préfère lire, me faire conter par les connaisseurs ( les vrais ) , et aller sur place pour prendre des photos, sentir un peu l’ambiance, discuter des nouvelles récentes, mais surtout ne pas trop rentrer dans des détails historiques. Comment pourraient-ils me ressortir une histoire véridique qui s’est passé il y a deux cent / trois cent ans s’ils se l’ont juste transmis les infos oralement de père en fils ? et encore, en admettant qu’ils soient là depuis deux cent ans / trois cent ans ?
Allez, à moi de poser un question maintenant. D’aprés vous, comment Rabezandrina et Raombana ont fait chacun de leur côté leurs recueils ? En allant sur place ?
mpandaloMembreNy tetiarana ao @ musée n’ Antsahadinta dia ankapobeny ihany fa be ny tsy ampy ary misy ny diso. Mifandraika aminay Ambodirano io ka mba misy kely fantatra ihany ny ampahany marina.
Izay mihintsy no tiako resahina. Tsy hoe mijery eny am-potony akory dia tsy maintsy ho marina.
Mifaningotra koa izany ny tetiarantsika !
mpandaloMembreEny am-potony tokoa ve no ahitana ny tena izy ? Rehefa hitsangatsangana aho, na haka sary, dia manao terrain eny am-potony. Fa rehefa hamantatra tantara, dia aleoko ihany mamaky boky sy manontany ireo kalaza amin’ny tantara ao Antananarivo.
Miresaka ny tetiarana rovan’Ilafy ianareo. Mba jereo koa ny ao Antsahadinta. Asa, io ve no tena marina satria eny am-potony ?
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