VIDEO. Les entreprises touristiques de Nosy Be souffrent d’un lourd bilan
La pandémie de coronavirus n’est pas qu’une crise sanitaire. C’est aussi une crise socio-économique. Et parmi les secteurs les plus touchés à Madagascar, il y a le tourisme. Nosy Be, première destination touristique de la Grande île, subit d’ailleurs de plein fouet les effets de cette absence de touristes. En effet, l’île n’a malheureusement pas su diversifier ses sources de revenus.
Pourtant, à part ses paysages à couper le souffle, Nosy Be regorge d’autres richesses tout à fait exploitables pour assurer la vie économique de ses habitants. On y trouve bon nombre d’ingrédients pour les industries cosmétiques et pharmaceutiques, mais aussi toutes sortes d’épices et de produits de la mer. Et la demande pour ce type de produits est aussi forte sur le marché local qu’à l’export. A méditer donc.
C’est maintenant le moment de filtrer les prochains touristes : exit les vieux et séniles touristes sexuels européens, porteurs du Covid-19 de surcroît et du VIH.
Brandon a raison. Il faut filtrer les arrivées à Nosy Be, et ne garder que les vrais touristes intéressants et qui respectent les locaux. Les vieux pervers séniles ne font que ruiner l’image des vrais touristes, qui eux sont là pour la beauté des paysages et passent de vraies vacances, et qui n’y vont pas pour profiter de petites ado sans le sou.
Quel pays peut faire comme le Bhutan où ne rentre que ceux qui ont payé us $ 200 par jour par personne, à payer auprès d’une agence de voyages?Et très peu de backpackers osent y aller, du moins trois ans de celà où nous y étions