VIDEO. Une modératrice d’un groupe Facebook poursuivie pour atteinte à la sûreté de l’Etat
Selon ce reportage par Real TV, une modératrice du groupe Facebook « Ndao handalina politika avo lenta » (Débattons de la politique de haut niveau) est actuellement poursuivie en justice pour atteinte à la sûreté de l’Etat et diffusion de fausses nouvelles. Le groupe Facebook en question avait pour vocation d’être un forum de discussion sur les sujets d’actualité à Madagascar.
Regroupant environ 140 mille membres, un des administrateurs vient d’archiver le groupe. Ce qui veut dire qu’il n’est plus possible d’y poster des commentaires ni de liker un sujet. Aucune information n’a filtré sur le post qui a posé problème, mais selon la modératrice poursuivie, « beaucoup de détenteurs de groupes Facebook sont emprisonnés à Madagascar ». Regardez son témoignage en vidéo.
La dictature est en place. Amnesty international devrait faire pression pour que la démocratie revienne à Madagascar. Un groupe Facebook ne peut sûrement pas porter atteinte à la sûreté de l’Etat, les participants n’ont pas d’armes, pas de gun, rien que des mots et des opinions. Et Radomelina a peur de ça ? Mais qu’est-ce que ça sera si les gens descendent vraiment dans la rue ? Il va les faire tirer dessus comme le 7 février 2009 ?
A mon avis, à la fin de son mandat, le DJ aura tellement un nombre incalculable d’ennemis qu’il ne saura plus où se mettre, ça vire à la paranoia.
je suis contre les vulgarités postés sur facebook mais par contre, il y a des chôses qui sont vraiment contradictoires et que l’Etat laisse faire, vu qu’elle ne fait rien, je parle des nombreuses comptes fakes qui font des incitations a la haine, postant des affirmations gratuites. Vous remarquerez tous que l’Etat musèle fortement toutes les personnes qui ne sont pas des solelakistes du Régime pour ne pas dire que si tu as un compe fake et que tu affiches clairement que tu es un lèche … du régime, que tu insulte de tous les noms des opposants, là il n’y a aucun problème, on dirait que la justice a madagougou est une justice a deux vitesses