VIDEO. Les vendeurs de Petite vitesse se plaignent d’une inégalité de traitement
La crise du coronavirus (Covid-19) devient de plus en plus difficile à supporter pour les Malgaches. Du moins, pour ceux qui galèrent avec des revenus modestes. Dans ce reportage, une vendeuse raconte qu’elle part d’Ambohitrimanjaka à minuit pour arriver au marché à 5 heures du matin. Et dès 6h30, la Police armée jusqu’aux dents vient les chasser de leur lieu de travail !
Selon les témoignages, les vendeurs se plaignent d’une inégalité de traitement par rapport à ceux des quartiers d’Anosibe et d’Andravoahany, qui seraient autorisés à vendre jusqu’à 12h. Bref, c’est toujours le bordel. Et puis, de toute façon, le confinement partiel est absurde et n’a aucun sens. Parce que le coronavirus circule à tout moment et non pas juste l’après-midi. Par conséquent, il va falloir changer de stratégie et adopter des solutions plus intelligentes et adaptées.